samedi 19 mai 2007

en Mai, on s'y remet (là je fais très fort)

A l'atelier on reprend le travail sur la couleur.














Dur d'echapper au piège du drapeau . mais la veille des élections on a une excuse.
Ensuite il y a les autres pièges, la fadeur, la croûte, le mièvre, le sale, le terne, le rien-du-tout...































Petit travail sur l´équilibre des formes et couleurs... euh...à propos c'est quoi?






Ce n'est pas trop mon truc de faire du travail propre et net... et de ne pas barbouiller. Ça ne l'a jamais été, ni en cuisine, ni en jardinage... ça m'amuse moins.






Retour à Mariz

Ce dessin m'a coûté pas mal de piqûres de moustiques...
ce sont les ruines d'un vieux moulin et d'un barrage de pierres, un peu plus bas sur la rivière




Ceux là sont à portée de main, j'y traine ma chaise le soir en rentrant du bureau, quand je peux.
C'est toujours une émotion de retrouver le coin des oliviers, c'est un très beau coin,
vue de haut..
















mais encore plus de coté

2 commentaires:

Claire Dammann a dit…

très élégant ton danseur de flamenco en blanc ! c'est vrai que dans le barbouillage on a la sensation d'une naissance.
l'étude avec les deux bleus me rappelle une guide de musée à Rome qui disait : vous savez pourquoi telle oeuvre vous plaît ? c'est parce qu'elle satisfait votre cerveau par son équillibre.

Unknown a dit…

We also agree that your style of painting shows your lifestyle which does not fit in a square. We like your paintings and progress and wish you a wonderful time with your painting class in Portugal.
Gerard-Gerry